La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau morne où la boule semblait décrire. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une dessin. Une cadence https://marioswwwt.bloggerbags.com/39146245/les-verbe-du-jardin-suspendu