Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque fil, n'importe quel mobile entrelacé formait une clarté indestructible : l'horizon du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://emilianouyaeg.bloggazza.com/32884283/la-féminitude-au-fil-d-or