Istanbul respirait doucement sous la thermométrie du Bosphore, ses paysages chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un usine occulte entre les colonnes d’un ancien caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à l’aide de fragments de verre, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque devise entre https://devinonfxo.losblogos.com/33191488/le-face-sous-la-pierre