Dans un petit cabinet localisé en périphérie de perpignan, une acupunctrice pratiquait son art depuis plus de 10 années dans une discrétion absolue. Les murs en cible soigné, l’odeur d’huiles majeures et le silence régulier formaient l’écrin idéal pour tous les séances chaque jour. Jusqu’au jour où, en plantant une https://manuelgiheb.bligblogging.com/34713406/le-tête-des-aiguilles