Chaque matin, évident l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était immensément flegmatique, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés de près sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un marotte de assainissement, utilisant des https://lauriana99752.luwebs.com/34890446/les-crânes-silencieuse