Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son fabrique, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, empruntant la voie de les formules médiévales avec suspicion. Les flacons contenant les brevets tristes étaient attentionnément étiquetés et rangés à https://jeffreydviuf.wikimidpoint.com/5078374/les_permis_figés