À Toulon, loin des plages fréquentées et des localisations touristiques, dans une ruelle encaissée entre des murs pâles rongés par le cerveau, vivait une féminitude que l’on appelait simplement Liora. On disait d’elle qu’elle savait déchiffrer le destin non dans les cartes, ni dans les cartes, mais dans les fragments https://sergiozpygn.blogtov.com/14720044/les-lignes-diminués